Mon histoire : d'une vie par défaut à une vie intentionnelle
Dans la tête d'un Philopreneur #184
Chaque lundi à 16h30, je vous propose une réflexion et des conseils pratiques pour vous aider à vous extraire de la vie par défaut et mener une vie plus intentionnelle au XXIe siècle.
Ce que j’appelle “une vie Philopreneur”, offrant à celui empruntant son chemin d’aspirer à une vie avec plus de sens, de liberté et de sérénité.
J’en profite pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux abonnés. Vous pouvez en savoir plus sur moi ici ou consulter les anciennes éditions.
Bonjour à tous,
Je vous écris de Budapest, où je suis de retour pour finir l’année afin de me consacrer à l’écriture de mon livre et à d’autres projets à venir.
La semaine dernière, nous avons vu pourquoi et comment distinguer la philosophie du développement personnel en prenant comme exemple le stoïcisme ainsi que l’auteur et entrepreneur Ryan Holiday. Si vous l’avez loupé, vous pouvez retrouver l’essai avec ce lien.
Cette semaine, je vais vous raconter quelques histoires personnelles qui illustreront le chemin de la vie intentionnelle que l’on peut tous emprunter.
Ces histoires me permettront de vous faire comprendre pourquoi les idées que je développe via le Philopreneur sont importantes pour moi.
Et en quoi je pense être crédible de par ma propre histoire pour vous aider à mener une vie (plus) intentionnelle.
Avant de commencer, je réitère ma proposition de collaboration (rémunérée) concernant l’identité visuelle et graphique du Philopreneur.
Voici un petit document à remplir en 2 minutes pour me proposer vos services et collaborer :
→ Travailler ensemble sur l’identité graphique / visuelle des projets “Philopreneurs”
Et maintenant, le programme du jour :
Ma double vie de 20 à 23 ans
Pourquoi cet intérêt pour la vie intentionnelle ?
Mon chemin intentionnel de philopreneur en 3 dates clés
Ma posture avec le Philopreneur ?
Mon histoire de Philopreneur : d'une vie par défaut à une quête intentionnelle
Printemps 2014. Je viens d’avoir 23 ans et je suis en train de finir un BTS de comptabilité.
Cela fait 4 ans que je mène une double vie : avec d’un côté une tentative infructueuse de suivre des études (fac de droit, fac de langues) et de l’autre une vie de joueur de poker en ligne qui se déroule bien.
Je suis un “looser” dans le monde physique et un “winner” dans le monde virtuel.
Lors de ce printemps 2014, j’ai la sensation d’être à un carrefour de ma vie.
Je viens de passer deux ans à m’ennuyer (et sécher) des cours de comptabilité dont je me contrefous, un choix fait complètement par défaut pour “faire plaisir à ma mère” lors de l’été 2012.
Et ce n’est pas tout, cela fait 3 ans que je vis et pense comme un nihiliste.
Je suis un nihiliste. Celui qui ne croit en rien, qui commence à devenir pessimiste, à ne plus respecter et aimer la vie.
J'enchaîne les après-midi café avec mes amis de l’époque, les soirées du mercredi au samedi, les gueules de bois, les réveils tardifs.
Je n’aime pas ma vie à cette époque et j’essaye de l’oublier avec cette vie dissolue.
Néanmoins, j’ai une lueur d’espoir à cette époque grâce au poker.
Ce jeu qui a été une soupape donnant du sens à ma vie pendant des années m’a prouvé que j’étais capable de devenir compétent, voire bon, dans un domaine.
Quelques mois plus tôt, je découvre grâce à un forum de poker, l’univers du développement personnel et du monde des start-up.
Je me souviens que je voyais ce printemps 2014 comme une invitation à prendre un train.
Je venais de voir de mes propres yeux un nouveau monde, celui de ceux qui essayent de devenir une meilleure version d’eux-mêmes et qui entreprennent des projets.
Mais il fallait réussir à sauter dans le train en marche ou rester à quai (à vie ?).
Rester dans mon ancien monde, mon paradigme nihiliste ou essayer de rentrer dans un monde inconnu, chaotique mais qui laisse la place à des perspectives plus enthousiasmante que mon quotidien ainsi que mon probable futur.
Je m’étais posé une question durant cette période : "Suis-je prêt à vivre ainsi pendant des années ?
Revivre cette même vie, ces mêmes journées. Tel l'éternel retour de Nietzsche.
Impossible.
C’est à ce moment que j’ai décidé de quitter pour la première fois “ma vie par défaut”, ma vie selon les autres, ma vie de nihiliste.
Je me suis dit “Dans 5 ans, tu seras un autre homme, tu auras fait des choses qui valent la peine de te lever le matin”.
J’ai sauté dans le train. J’ai rejoint le projet d’un entrepreneur du coin sur lequel j’ai travaillé 6 mois.
Personne n’a jamais entendu parler de ce projet. Mais sans ce saut, je ne serai jamais devenu la personne que je suis aujourd’hui. Et vous n’aurez jamais entendu parler de moi, ni de la vie intentionnelle.
Pourquoi cet intérêt pour la vie intentionnelle ?
Vous l’avez compris avec cette histoire introductive.
J’ai été “Stéphane”. J’ai été ce mec qui vit par défaut, qui n’aime pas sa vie, qui devient nihiliste.
8 ans ont passé depuis cette histoire.
J’ai eu la chance de vivre “plusieurs vies” durant cette période. D’avoir vécu des choses que je n’aurai même pas imaginées à 22 ans.
J’ai su m’extraire de la vie par défaut et emprunter le chemin de la vie intentionnelle.
Ce qui ne veut pas dire pour autant, que je ne vis pas par défaut dans certains domaines de ma vie. Nous y reviendrons.
Revenons d’abord à la racine de la vie intentionnelle.
Je considère que la vie intentionnelle n’est pas un bonus, une possibilité parmi d’autres, c’est une nécessité.
La vie intentionnelle est une nécessité pour tout individu qui veut mener une vie qui vaut la peine d'être vécue.
Celui qui dit (ou pense) se satisfaire d’une vie par défaut ment (et surtout se ment à lui-même) puisque ce mode d’existence est une négation de la vie.
La vie par défaut est une vie vécue selon les autres.
Ces dernières années j’ai eu des centaines de conversations avec des personnes m’avouant le mal-être inhérent à leur existence.
Le point commun était qu’aucun d’entre eux ne vivant avec intentions.
Ils se cachaient ou noyaient leur mal-être dans une combinaison de divertissements, d’activités pro et perso non choisies et de multiples techniques pour supporter une vie médiocre (alcool, soirées incessantes, addictions diverses).
Tendre vers une vie 100% par défaut conduit à un désamour, un nihilisme, un désengagement de la vie.
Alors que tendre vers une vie 100% intentionnelle nous conduit à aimer la vie, à s’y engager et l’investir pleinement.
Précisons, à nouveau, qu’il est impossible de vivre à 100% par défaut ou à 100% de manière intentionnelle. C’est un spectre sur lequel on se déplace.
Je m’intéresse à la question de “la vie intentionnelle au XXIe siècle” car j’ai été victime de cette existence par défaut.
J’ai également été marqué par le discours “des adultes” lorsqu’à 16 ans on m’a fait comprendre que le climax de l’existence serait la vie étudiante. Qu’ensuite la vie ne serait qu’un chemin linéaire avec des choix restreints.
J’ai ensuite observé - et compris petit à petit durant ma vingtaine - que nous vivons dans une société occidentale folle et malade.
Les gens ne sont pas heureux, consomment pour oublier, travail pour consommer et cherchent une porte de sortie (ou un rayon de bonheur) en faisant tourner la roue de hamster dans laquelle ils sont coincés.
Mais ce n’est pas uniquement de leur faute.
Le modèle de société dans lequel nous vivons (et la trajectoire qu’il prend) n’est pas pensé pour aider les hommes et les femmes à mener une vie de sens, de liberté et de sérénité.
Elle est pensée pour faire tourner une machine qui nous dépasse.
Cette machine n’a que peut à faire (et nullement d’intérêt) à faire de vous de véritables individus, vivant avec intentions, avec clarté mentale, avec esprit critique etc.
Elle a plutôt intérêt à vous déresponsabiliser, vous infantiliser et vous inventez des ennemis qui seraient la cause de vos maux.
Alors bien sûr, il est nécessaire de redéfinir les structures et modèles de société dans lesquels nous vivons.
Mais pour ma part, j’ai choisi (pour l’instant) un autre combat, celui d’aider les “individus” à justement devenir de véritables individus.
À prendre la responsabilité de leur existence pour essayer de s’extraire du troupeau malade, à quitter le panier de crabes, à mener une vie intentionnelle pour enfin vous donner la chance de quitter le nihilisme ambiant.
Ce qui renforce ce choix, c’est d’avoir compris que ce problème était millénaire.
De nombreux philosophes, penseurs, sages de toutes traditions ont invité et incités leurs contemporains à mener une forme de vie intentionnelle.
Sont-ils parvenus à convaincre “les masses” ?
Non.
Mais ils ont réussi à changer l’existence de personnes, qui pour certaines ont ensuite su produire des œuvres, faire des projets, lancer des initiatives qui en aident d’autres, voir qui permettent à la société de changer en profondeur.
Ces penseurs arrivaient aux mêmes conclusions que moi :
une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue
bien vivre ce n'est pas inné, ça s'apprend
que peu d'individus osent s'extraire du troupeau. Et qu'il y a plein de raisons à cela.
Que le chemin d'une vie intentionnelle est dangereux et demande du courage. Il n’est pas pour tout le monde même si tout le monde peut essayer
Laissez-moi maintenant, vous présenter 3 moments clés de ma vie personnelle qui m’ont permis (et obligé) de progresser sur le chemin de la vie intentionnelle.
Mon chemin intentionnel de philopreneur en 3 dates clés
Premier tremblement de terre à 16 ans
L’année de mes 16 ans plusieurs événements produisirent sur moi des crises et des déclics
La maladie et le décès de ma grand-mère suivi de celui de mon grand-père 6 mois plus tard dont j’étais très proche.
En conséquence, une chute libre de mes notes scolaires qui m’ont fait redoubler ma seconde ainsi qu’une année catastrophique en termes de résultats dans mes compétitions de tennis.
La prise de conscience de la vie par défaut de nombreux adultes qui n’aimaient pas vraiment leur vie sans pour autant oser en vivre une autre.
La recherche d’alternatives, de moyen de construire mon propre chemin qui m’amena à découvrir le roman Sur la Route de Jack Kerouac
Puis la découverte du poker en ligne qui va m’aider à reprendre confiance en moi et m’émanciper.
Ce fut une année très intense, le premier carrefour important de mon existence.
J’y découvre la douleur de la perte d’êtres chers, la prise de conscience du caractère fragile et finis d’une existence.
Mais aussi l’arrivée des livres dans ma vie, avec le constat qu’un livre lu au bon moment peut changer une vie.
Ainsi qu’une activité - avec le poker - qui va m’aider à m’extraire de ma situation difficile.
S’affranchir et se développer avec ma start-up
Pour autant comme vous l’avez lu en introduction, j’ai sombré dans un nihilisme au début de ma vingtaine.
Fort heureusement, j’ai su m’en extraire en m’appuyant sur mon tout premier projet de start-up.
Bien que celui-ci n’aille pas bien loin, il m’aura au moins mis le pied à l’étrier.
Il m’a donné l’élan me permettant de lancer mon second projet, qui lui, a eu une grande importance dans ma vie.
Ce projet c’est Fetch, une startup de “food delivery” que j’ai lancé en janvier 2015 et cédée au groupe La Poste fin 2018.
La où le poker fut une école pour apprendre à penser vite et correctement, à développer des modèles mentaux et à être performant avec les choses abstraites.
Lancer et développer cette start-up fut une école de la vie, celle qui m’apprit à devenir un homme responsable de ses actes et parole ainsi qu’à mieux comprendre la nature humaine et les dynamiques sociales dans un environnement pro et hypercompétitif.
J’utilise l’expression “s’extraire” quand je parle de “vie par défaut”.
Un synonyme à ce terme est “affranchi”. C’est celui que j’ai ressenti durant cette période.
J’avais l’impression de m’affranchir d’une ancienne identité, d’un environnement qui ne me convenait plus, d’une condition qui ne m’aurait pas satisfaite sur la durée.
Ces 4 années m’ont notamment permis de :
Quitter mon environnement et m’en créer un nouveau, grâce à mon entreprise, le statut acquis avec celle-ci et la création de contenu commencée en parallèle
Me donner l’opportunité de vivre une vie en accord avec mes aspirations et ma pensée
De gagner en confiance en moi dans certains domaines (et en estime de moi après une période nihiliste)
De créer un ensemble de compétences et d’actifs me permettant de disposer d'effets de levier puissant à notre époque (audience, marque personnelle, monopole personnel, combinaisons de compétences rare etc.)
De devenir antifragile par nécessité en survivant aux montagnes russes inhérentes à l’activité d’une start-up ainsi qu’aux torpilles que j’ai pu prendre sur le chemin (par quelques personnes mal intentionnées).
Mais souvenez-vous la vie intentionnelle n’est pas une destination.
C’est un chemin, une direction vers laquelle on tend.
Ces 4 années ont aussi apporté leur lot de problèmes, de déséquilibre, d’oubli et de retard dans certains domaines.
J’ai mal géré ma première relation longue que j’aurai dû arrêter au bout de 2 ans et qui en a duré 4.
J’ai négligé ma santé physique et mentale, me retrouvant complètement hors de forme physique et épuisé mentalement pendant 6 à 12 mois après la cession de l’entreprise
Je me suis oublié pendant plusieurs années pour faire de mon entreprise une priorité, j’étais au service de celle-ci. Je me voyais comme “un cerveau” qui devait réfléchir et prendre des décisions.
Ce qui nous amène à la troisième période “carrefour” de ma vie de Philopreneur.
Un questionnement existentiel de 27 à 30 ans se terminant par à un “burn-out” en 2021
Vous le savez vous suivez mes aventures depuis un certain temps.
Durant le printemps été 2021 j’ai fait une sorte de burn-out, qui engendra une crise salvatrice.
En passant, toute crise peut être salvatrice puisque par essence elle est un carrefour testant notre caractère et nous invitant à réagir de manière appropriée.
Mon analyse à postériori, est que cette crise fut le produit de 3 années à batailler intérieurement entre plusieurs identités et désirs contradictoires que je souhaitais explorer.
En 2018, je viens donc de céder mon entreprise. Je ne suis pas devenu riche financièrement mais j’ai des compétences et des leviers qui m’ouvrent la voie à des opportunités très diverses.
Je me retrouve avec “un problème de riches”. De nature curieuse j’ai envie d’explorer, d’apprendre et d’un autre côté j’ai de quoi exploiter mes compétences et générer beaucoup d’argent.
On touche ici le nerf du problème.
Un tiraillement entre d’un côté l’envie d’exploiter et de réaliser le potentiel sur lequel je suis assis grâce à mes expériences passées.
Une envie de “rattraper” l’argent laissé sur la table avec ma start-up précédente, de devenir millionnaire, de décupler l’aura de mon statut et celui de mon pouvoir.
En somme les quêtes matérialistes promues par notre société.
De gagner “au jeu de la société”.
Et de l’autre, un désir d’explorer de nouveaux territoires.
De découvrir de nouveaux domaines, d’écrire, de penser, de créer.
Une voie qui s’apparente plus à une vocation, à une quête intérieure et long terme.
Le confinement de mars 2020 finit par me convaincre que certains de mes projets de l’époque étaient dominés par des motivations extrinsèques.
Des projets et un discours trop éloigné de qui j’étais et surtout de qui j’avais envie de devenir.
En novembre 2020, je sens le besoin d’écrire un manifeste pour partager ma vision du monde, je crée ce jour-là l’archétype du Philopreneur sur lequel je travaille depuis.
Suivra sur le premier semestre 2021 un ensemble d’événements personnels et sociétaux qui finiront par générer la crise qui m’aidera à assumer pleinement ma transition d’entrepreneur “matérialiste” à penser/philosophe en quête de quelque chose qui le dépasse.
Le processus d’acceptation fut lent puisque c’est seulement 18 mois plus tard que je vais pleinement assumer ma nouvelle identité.
Mais parfois la vie aime faire des détours et prendre son temps.
Ma posture avec le Philopreneur ?
Vous le comprenez à travers ces histoires.
Je ne suis pas Achille - notre archétype 100% intentionnel.
Je ne suis pas un expert de “comment vivre sa vie parfaitement”.
Je ne suis qu’un guide qui essaye de baliser le chemin avec des idées et des concepts : fruit de mes lectures, de mon vécu et de mes observations.
C’est ce que j’essaye de faire à travers ces newsletters/essais ainsi qu’avec le livre que je suis en train d’écrire en parallèle.
J’ai peut-être un peu d’avance sur vous dans certains domaines de vie, mais vous en avez certainement sur moi dans d’autres.
Si je réfléchis et écris sur ce thème c’est parce qu’il m’aide à mieux penser et vivre ma vie.
Il est le sujet qui me semble le plus important pour aider concrètement mes proches, ma communauté et ceux qui me lisent.
Nietzsche disait que toute philosophie était le reflet de la biographie/vie de celui-là produisant.
Je plaide coupable. Je suis démasqué.
Si je peux écrire sur ce sujet c’est parce qu’il me concerne.
Mon ambition est de créer un modèle de pensée que chacun peut comprendre et appliquer : celui de la vie par défaut et intentionnel (qu’on peut activer à tout moment).
D’élaborer, autour de ce modèle, des principes permettant de l’employer avec plus de sens et d’à-propos selon le contexte.
Mais aussi d’avoir un parcours de pensées et d’actions pour s’éloigner de la vie par défaut et se rapprocher d’une vie purement intentionnelle.
Le tout dans des domaines piliers et concrets de nos existences.
“Conclusion”
Cette édition avait un ton plus personnel que théorique ou pratique.
Mais c’est fondamental, à mon sens; de savoir à qui on a affaire quand on s’intéresse à des sujets tels que ceux que j’aborde ici.
Ma mission est d’aider ceux qui veulent s’extraire de la vie par défaut et mener une vie intentionnelle.
Un long chemin périlleux, que tout le monde peut prendre, mais que peu oseront emprunter.
Ce qui ne me dérange pas car ceci permet de créer un filtre m’aidant à construire une communauté avec des personnes que :
je respecte de par leur courage, leur volonté et leur détermination à ne plus vivre selon les autres
à se réaliser/s’élever
le tout pour vivre avec et redonner aux autres.
Puisqu’en marge du livre que je publierai l’an prochain.
Je vais lancer la Philopreneurs Académie (prochainement en bêta test) et je compte revenir en France en 2023 pour créer différentes sortes d’événements physiques l’année prochaine.
Aussi, mon mode de vie idéal pour 2023, et les années, qui suivront est de créer “ma scenius” quelque part en France, un endroit où fédérer des personnes souhaitant travailler et échanger avec moi sur des projets similaires à celui du Philopreneur.
J’ai envie de reproduire “l’effet école primaire” mais en version adulte.
Nous aurons l’occasion d’en reparler ici.
Je m’arrête ici pour cette semaine.
Merci d’avoir pris le temps de me lire.
Donnez-moi votre avis sur l’édition ou venez me poser vos questions sur Linkedin ou par mail (en répondant à celui-ci).
Passez une bonne semaine et à lundi prochain !
JCK from Budapest 🇭🇺
PS. : Si l’édition vous a plu, vous pouvez cliquer sur le petit ❤️ juste en dessous du titre de cet e-mail. C’est une autre façon d’encourager mon travail !
Bravo Jean-Charles pour cette édition.
Ce message raisonne fort chez moi.
Le mot intentionnel aussi.
Il peut changer beaucoup de choses dans la vie.
Dans mon activité, je propose aux hommes de s'habiller intentionnellement, plutôt que de bien s'habiller.
Au plaisir de vous lire.