Hello !
Je suis de retour dans vos boîtes mails après une pause d’environ un mois et demi.
On va reprendre les habitudes du mail du lundi à 16h30 que certains d’entre vous reçoivent depuis bientôt 3 ans.
Comme je l’expliquais le 19 juillet dernier, j’avais grand besoin de faire une pause suite à une fatigue mentale et physique qui s’accumulait depuis plusieurs mois.
Cette période sans “obligation” de production de contenu m’a fait le plus grand bien, elle m’a permis de faire une grande introspection, d’étudier et d’apprendre avec une motivation purement intrinsèque.
Elle fut aussi l’occasion d’affronter une réalité personnelle que je traîne depuis bien longtemps sans réussir à mettre le doigt dessus (ou oser le mettre). J’y reviens dans cette édition.
Enfin, elle fut fertile d’un point de vue créatif et en termes de projet puisque je ressors de cet été avec une bien meilleure idée des sujets, questions et surtout du grand problème que j’ai envie de traiter dans les années à venir.
Cette introspection fut couplée avec mon départ à l’étranger, comme prévu, j’ai quitté mon appartement nantais fin juillet pour ouvrir un nouveau chapitre d’une durée indéterminée de nomade à l’étranger. J’en ai profité pour me séparer d’environ 75% des affaires que j’avais accumulés, rapatrié une partie de ce qu’il me reste à Nancy (dont une majorité de livres) et suis parti avec une petite valise et un sac à dos pour un total d’environ 80 possessions.
Je suis parti le 2 août dernier, avec un premier stop de quatre semaines, dans un village isolé à quelques kilomètres de Batumi, une station balnéaire en Géorgie, avec 8 créateurs de contenu.
J’ai profité de ce mois pour reposer de bonnes bases dans mes routines personnelles avec du sport quotidien, de la méditation, l’écriture d’un journal et de divers textes et réflexions, de l’étude et de la lecture concentrée et une pratique intensive de la philosophie stoïcienne sur laquelle je vais revenir.
J’ai évité de penser “business” dans tout ce que je faisais, cherchant seulement à vivre le moment présent, me faire du bien afin d’être dans les meilleures dispositions mentales et physiques pour la rentrée. Mission qui me semble réussie à l’heure où j’écris ces lignes.
Cette première partie de mon voyage s’est terminée le 28 août.
Depuis, j’ai commencé mon voyage en solitaire et j’ai choisi de me poser à Tbilissi, la capitale géorgienne, pour aller à fond dans cette expérience nouvelle pour moi.
Pour finir cette longue introduction, j’en profite pour remercier les dizaines de personnes qui m’ont envoyé des messages de soutien en juillet suite à ma dernière publication.
Je vais tenter de structurer ce que je souhaite vous partager aujourd’hui et les prochaines semaines, j’ai beaucoup de sujets en tête !
Aujourd’hui, je vous propose un témoignage personnel qui va me servir de point de départ pour vous faire comprendre la direction que j’ai envie de prendre en tant que personne et entrepreneur, ce qui va donc se ressentir également avec cette newsletter et les projets que je vais développer.
Allez c’est parti !
Into the Wild et quête personnelle
Quand je raconte mon histoire personnelle, que ce soit en privé ou dans des podcasts ou interviews, je mets presque toujours en avant deux lectures qui ont eu une grande influence dans ma vie :
Sur la route de Jack Kerouac que j’ai lu à 16 ans, un roman initiatique et de voyage suivant les aventures de Kerouac et de sa bande de poètes et écrivains déjantés connu sous le nom de Beat Generation.
Into the Wild de John Krakauer que j’ai d’abord découvert via le film de Sean Penn lorsque l’été de mes 19 ans puis le livre la semaine suivante. Il revient sur l’histoire d’un Américain de 22 ans Christopher McCandless qui décida juste après avoir obtenu son diplôme de tout quitter et de vivre en marge de la société (de consommation) en partant voyager sans un sou, sans identité et sans possessions ou presque avant de décéder tragiquement lors de la dernière étape de son voyage en Alaska.
Ma lecture de Sur la route a eu lieu dans une période difficile dans ma vie personnelle, un membre important de ma famille et central de ma vie était gravement malade, j’étais en train de redoubler ma seconde passant de 12 à 6 de moyenne et j’étais clairement en train de perdre toute confiance en moi et de sombrer tel le Titanic.
Je me rendais compte soudainement que le système éducatif et le système tout court ne permettaient pas spécialement les écarts et les perspectives qu’ils me laissaient entrevoir ne m’excitaient nullement.
Cela faisait déjà des années (depuis la 5ème de mémoire) que l’école ne me stimulait plus et que je n’arrivais pas à maintenir mon attention plus de 10 minutes (même quand j’essayais d’y parvenir !).
Je n’étais pas encore un lecteur vorace mais j’aimais déjà traîner dans les rayons des librairies.
Un jour, je suis tombé par hasard sur ce livre de Kerouac qui m’intrigua.
Sa lecture m’inspira, non pas à partir à la conquête de l’ouest, à écrire des poèmes et à consommer de la Benzedrine (drogue légale de l’époque) mais à chercher ma propre voie et à rebâtir une confiance en moi qu’une année de mauvais résultat et surtout que le système éducatif (professeurs, conseiller d’orientation, CPE etc) avait réussi à effriter dangereusement.
C’est aussi à cette époque que j’ai découvert le poker en ligne qui devint ma passion puis une sorte de métier pendant plusieurs années.
J’y ai trouvé une forme d’échappatoire et un espace dans lequel je pouvais (re)partir de 0, donner mon maximum pour progresser et essayer de devenir bon, voir excellent dans un domaine.
Avance rapide, environ trois ans plus tard.
Je viens d’avoir mon bac et l’école m’ennuie toujours autant.
Totalement désintéressé par l’idée de faire des études supérieures, je me retrouve - comme beaucoup d’autres lycéens - à faire un peu au hasard mes choix d’orientations post-bac, sans comprendre pourquoi je devrais essayer d’être un bon produit sur le marché du travail et de la vie “normale”.
Le poker était encore un hobby même si je commençais à gagner des sommes me permettant de vivre comme un “riche étudiant”. Mais pas encore de quoi en vivre et être totalement indépendant.
Le problème c’est que quelques jours avant la rentrée je tombe sur ce film hypnotisant par sa musique, sa photographie mais aussi par son message, Into the Wild, seul dans ma chambre. Nouvelle claque après Sur la route…
Pourquoi un mec qui semblait aussi brillant, cultivé et bien intégré socialement déciderait de brûler ses papiers d’identité, faire don de tout son argent et de quitter la société sans prévenir sa famille ?
J'en reparlais avec mon frère récemment, suite au visionnage de ce film, j’ai vécu deux semaines dans un état second, complètement désorienté par l’écart entre ce que j’avais vu ce que je m’apprêtais à faire avec ce cycle d’étude supérieure qui démarrait.
Je me rappelle avoir ensuite lu le livre pendant les premières journées de cours puis avoir décidé de plus y aller au bout de deux semaines (sans le dire à ma famille au début par peur de la décevoir).
Ont suivi quelques semaines de mensonges et de journées à errer dans la rue - et le froid - le matin, à aller au cinéma ou lire le midi puis à revenir chez moi pour jouer au poker l’après-midi.
J’étais devenu un vagabond comme “Alex Supertrump”.
Finalement, les deux années qui suivirent, j’eus la possibilité suite à un deal avec ma famille de poursuivre des études à la fac qui m’ont surtout servi à me concentrer sur ma carrière de joueur de poker, à vivre des expériences en sortant beaucoup plus et à me poser des questions existentielles sur ce que j’allais faire de ma vie, sans pour autant être stressé outre mesure par ma non-soumission au système et mon rejet du métro-boulot-dodo.
Il y a un point de détail, qui est important et que je dois introduire maintenant, c’est que cette quête personnelle qui a commencé suite à ma lecture de Sur la route à 16 ans était une quête d’épanouissement et d’une recherche d’une forme de bonheur et de bien être, étant alors régulièrement sujet à des moments de déprimes plus ou moins longues que je ne savais expliquer et encore moins comprendre.
Je voyais les adultes et les travailleurs qui ne semblaient pas spécialement heureux et je me demandais pourquoi on acceptait ce bordel sans rien faire. Du haut de mes 16 ans, je ne comprenais pas quel était le but de tout cela : les études, le travail, contracter un prêt, acheter une maison etc.
Pendant ma période de joueur de poker, je ne dirais pas que cette activité m’a apporté de la stabilité émotionnelle ou que je suis parvenu à me sentir bien au quotidien mais j’avais une activité qui m’aidait à gagner confiance en mes capacités, à suivre une voie parallèle et qui me poussait à progresser dans un domaine (source de satisfaction et d’épanouissement).
C’était un début et une première étape dans ma quête.
Ensuite est arrivé la découverte de l’entrepreneuriat en 2013 à 22 ans puis la création de ma startup Fetch en 2015.
Je pourrai repartir dans une longue histoire mais ce n’est pas utile.
À vrai dire avec Fetch, j’ai reproduit le même schéma qu’avec le poker :
M’immerger dans un domaine compétitif avec peu ou pas de barrière à l’entrée
Chercher à progresser au quotidien pour être le meilleur possible
Générer des signes extérieurs de réussites : statut, pouvoir, richesse, réputation etc
Associer mon bonheur à des choses extérieures comme la croissance hebdomadaire ou mensuelle de ma start-up qui m’obsédait et avait un impact direct sur mon moral
Cette aventure m’a aidée à me développer sur plein d’aspects - tout comme le poker - le problème était plutôt ma perception de ce qui était important et de ce sur quoi je basais et conditionnais mon “bonheur”.
Comme beaucoup de monde, je pensais qu’en ayant plus, en étant plus connu, en ayant du pouvoir, en réussissant à faire des choses cool j’allais être plus heureux.
Qu’il y avait une sorte de ligne d’arrivée ou de sommet à partir duquel les choses allaient être différentes.
Ça ne fonctionne pas ainsi.
Le bien-être et le bonheur ne sont pas le fruit de réussites ou de résultats prenant place dans le monde extérieur. On ne les trouve pas dans un hypothétique futur mais dans le moment présent, au jour le jour, à l’intérieur de soi.
Je dis ça et pourtant, j’ai continué, même après l’expérience Fetch à lier mon état émotionnel à la réussite de mes projets (lancement d’un projet comme Longue Vue), à des signes de croissances (comme le nombre d’écoute de mes podcasts, nombre d’abonnés de cette newsletter…), à des relations (couple, amitié).
Une énième sonnette d’alarme au début de l’été qui m’a bien secoué alors que j’étais plutôt dans une bonne passe professionnelle avec mon activité qui avait décollé rapidement.
J’ai compris pendant cet été qu’il fallait prendre du recul et changé quelque chose.
J’ai cherché, entre mes 16 ans et 30 ans, à me sentir mieux au quotidien, à être épanoui et heureux, ce qui est sans doute une des quêtes les plus belles et légitimes à laquelle nous aspirons tous.
Le souci c’est que je m’y prenais de la mauvaise manière.
Avoir des projets et des objectifs est fondamental pour trouver du sens à sa vie et ils peuvent contribuer à rendre heureux quelqu’un, mais ils ne suffisent pas car ils sont éphémères et nous ne maîtrisons pas entièrement leurs réussites.
Conditionner son bonheur à un projet ou à toute chose/événement extérieur est une autoroute en direction de la souffrance, du regret et de l’anxiété.
Et donc, c’est pour cela que j’avais décidé cet été de mettre en pause cette newsletter et d’autres parties de ma vie pro/perso.
Il fallait sortir le frain à main pour stopper le train de la recherche du bonheur par la réussite et de ne le faire repartir qu’à une seule condition : ne plus conditionner mon bien-être et mon bonheur à la réussite à mes projets, à des événements extérieurs et aux attentes des autres.
Philosophie et changement état d’esprit
Pendant que le train était à quai (à Batumi pour être précis), j’ai donc effectué un gros travail sur moi-même, cela commença par accepter de ne pas penser “projets” ou “business” ce qui n’était pas une mince affaire quand on se retrouve dans un environnement avec des personnes qui sont passionnées (et parfois obséder) par leurs projets et business.
Avant de partir à Batumi, sentant que ce n’était pas la fête dans ma tête, j’avais repris la lecture des traités de Sénéque, ce philosophe stoïcien qui m’a déjà aidé à plusieurs reprises dans le passé dans des moments compliqués - notamment quand j’étais en pleine tempête avec Fetch durant l’été 2018.
Très vite, comme d’habitude, le fait de lire et de méditer sur les propos de ce philosophe a eu un effet thérapeutique.
Lisant en parallèle le livre Ultralearning de Scott Young, proposant une méthode d’apprentissage accéléré et efficace pour les autodidactes, je décidai de me lancer dans un challenge personnel, pendant mon séjour à Batumi, à savoir : d’étudier la philosophie stoïcienne et de la pratiquer concrètement afin d’en faire pourquoi pas le socle de ma philosophie personnelle.
Je définis alors un programme d’étude et de pratique que je suivis pendant tout le mois, avec quelques ajustements quand nécessaire.
Ce mois fut incroyable car j’avais d’un côté les conditions idéales pour étudier : du temps, un cadre reposant, ma propre chambre si besoin pour m’isoler, peu de contraintes professionnels avec seulement quelques heures de coaching par semaine.
Et en même temps concernant la pratique, c’était un environnement difficile puisque la vie communauté génère une forme de pression sociale qui n’est déjà pas évidente à gérer en général - notamment pour les introvertis comme moi pouvant parfois “obliger” de faire des choses pour se conformer à un groupe, lequel est souvent mené par des extravertis.
C’est déjà difficile en général mais alors cela l’était d’autant lorsque l’on tente une sorte de conversion et de pratique philosophique aussi exigeante que peut l’être le stoïcisme.
Au final, cette difficulté était une bénédiction puisqu’en étant parvenu à la surpasser, je me suis prouvé que j’étais capable de pratiquer ma philosophie (peu importe ce qu’elle est) dans tout environnement.
Je reviendrai dans les prochaines semaines plus en détail sur ce qu’est la pratique philosophique stoïcienne.
Comme je le disais plus haut, ce mois d’août et ce challenge personnel n’étaient pas liés à une ambition professionnelle. Mon but était de me retaper une santé et apprendre à stabiliser ma santé mentale et émotionnelle, à trouver de la sérénité et une forme de bonheur inconditionnel.
Passage de l’étude et de la pratique individuelle à collective
Ces dernières semaines m’ont fait comprendre que j’étais en train de me définir une quête aussi bien personnelle et interne, que professionnelle et externe.
Celle-ci tourne autour d’une question simple à poser mais dont il est difficile de trouver la réponse.
Qu’est-ce qu’une bonne vie au 21e siècle ?
Vivons-nous d’une manière nous rendant vraiment épanoui, heureux, serein ?
Que pouvons-nous faire pour mieux vivre à notre époque ?
J’ai la certitude que c’est un sujet - et problème - fondamental et qu’on est globalement très mauvais en tant que société et individus pour prendre du recul, chercher et comprendre ce qui va réellement nous permettre de vivre une bonne vie.
On est tellement poussé à chercher le bonheur à travers la poursuite d’objectifs toujours plus difficiles à atteindre, à travers la consommation, à travers la création et l’accumulation de désirs, en plaçant la responsabilité de notre bonheur chez les autres comme notre partenaire, nos amis, notre famille, notre youtubeur préféré …
Pour commencer à explorer ces questions et trouver des pistes, j’ai choisi le stoicisme, une philosophie antique qui est très moderne à certains égards grâce à sa fine compréhension de la nature humaine.
Il faut savoir que la philosophie antique n’avait rien d’abstrait contrairement à l’image que l’on se fait de la philosophie de nos jours.
Le but original de la philosophie était de trouver des solutions concrètes pour aider Monsieur et Madame tout le monde à mieux vivre.
La philosophie étant autant une pratique qu’un discours ou système (visant à servir la pratique). Nous y reviendrons.
Le stoïcisme est d’ailleurs une philosophie qui a inspiré de nombreuse psychothérapie moderne comme la logothérapie (thérapie du sens), la thérapie cognitive et comportementale (appelé CBT) ou encore la psychologie positive (fondée par Martin Seligman).
Je travaille actuellement sur un cours gratuit par mail qui est une introduction au stoïcisme expliquant notamment ce qu’il peut nous apporter au 21ème siècle et comment le pratiquer.
Mais surtout, j’ai envie d’explorer dans les mois et années à venir ce qui nous permettra de mieux vivre en tant qu’individu (et société) à une époque où malheureusement la société nous pousse à chercher le bonheur dans le faire et l’avoir plutôt que dans l’être.
Cela peut prendre de nombreuses formes en termes de projets.
Si je devais vous partager ma vision ou plutôt mon rêve, ce serait de créer une école ou une académie en ligne et physique qui aiderait un maximum de personnes à vivre une bonne vie, à trouver du sens à ce qu’ils font via des projets pro ou perso, à développer une philosophie de vie pratique leur permettant de se sentir plus serein et plus heureux.
Pour y parvenir, je vais m’appuyer sur la philosophie et la psychologie qui sont deux disciplines que je vais explorer, étudier, pratiquer et “vulgariser” pour mon épanouissement personnel mais aussi pour contribuer au vôtre.
Cette newsletter va continuer d’exister, je vais faire légèrement évoluer le format et son angle pour l’orienter vers cette quête qui est plus centré sur l’humain que sur le business (comme ce que je fais de plus en plus dans mes coachings).
Je compte bien encore vous partager mes lectures, mes réflexions et mes apprentissages qui seront dorénavant beaucoup plus teintés de philosophie et de psychologie.
J’ai plein de projets et d’idées en tête, je ne sais pas encore dans quel ordre les choses font se faire, mais contrairement à avant où j’aurais pu être pressé ou anxieux (car en attente d’un résultat), je me sens serein car je sais que je suis au bon endroit et que je vais dans la (ma) bonne direction.
La vie est une odyssée dans laquelle il faut (se) définir une belle destination mais dont il faut surtout apprécier le chemin.
En ce moment je me dis qu’une une vie réussie, c’est une vie qui n’a plus besoin de la réussite pour être considéré tel quel.
C’était long, c’était personnel mais j’espère que certains de mes propos vous seront utiles.
J’aurai encore pu aborder plein de sujets que je garde pour plus tard :
Pourquoi mon voyage actuel est un retour aux sources me rapprochant des messages portés par mes deux lectures fondatrices
Comment gérer la vie en communauté et comment bien s’intégrer dans une nouvelle ville et pays quand on voyage en solo (quand on est introverti)
Qu’est-ce que je pense du digital nomadisme
Tout ce que j’ai appris sur le stoïcisme et ce que sa pratique m’apporte
N’hésitez pas à réagir pour me dire ce que vous avez pensé de cette édition de retour !
Je vous laisse avec quelques photos que j’ai prises la semaine dernière à Tbilissi.
Prenez soin de vous et à lundi prochain !
JCK (dans un café à Tbilissi 🇬🇪)
Beau témoignage, je suis pressé de vivre l'évolution de tes écrits vers plus de philosophie et de psychologie ;)