Chaque lundi à 16h30, je vous propose une réflexion, à la croisée de la philosophie et de l’entrepreneuriat, pour vous aider à mener une vie plus intentionnelle, construire votre philosophie de vie et faire partie des hommes et femmes véritablement libres au XXIe siècle.
J’en profite pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux abonnés. Vous pouvez en savoir plus sur moi ici ou consulter les anciennes éditions.
Bonjour à tous,
Merci pour vos messages/retours, de plus en plus nombreux chaque semaine.
Je constate que vous appréciez ce format d’essais qui se suivent de semaine en semaine. Certains sont venus me le dire explicitement par mail.
Chaque édition peut se lire indépendamment mais sachez que vous pouvez lire toutes les éditions précédentes avec ce lien.
De mon côté, j’apprécie ce format car il me permet de suivre la trame de mon livre. Ainsi que de tester les idées et concepts en public. Ceci me permettant de les améliorer ensuite pour la version finale du livre que j’espère publier en 2023.
Au-delà du livre, c’est un plaisir de pouvoir (et devoir) développer en profondeur des idées et concepts que j’essaye d’articuler depuis un certain temps.
De bâtir une philosophie de vie qui peut vous aider à mener une vie plus intentionnelle en s’appuyant sur des principes tirés de mes lectures et expériences et observations.
Au programme de l’édition de la semaine :
Les 3 bénéfices concrets de la vie intentionnelle
Retour sur les archétypes de Stéphane et Achille
Le spectre de l’intentionnalité
Illustrer par un exemple personnel de projet intentionnel
La définition du Philopreneur
Les 3 bénéfices majeurs de la vie intentionnelle (+ liste de 9 bénéfices secondaires)
Ce qu’est n’est pas la vie intentionnelle (en 4 points)
Les 3 bénéfices concrets de la vie intentionnelle
Ces deux dernières semaines, je vous ai présenté 2 archétypes représentant chaque côté du spectre de la vie intentionnelle :
Stéphane, l’homme vivant par défaut et selon les autres
Achille, l’homme vivant intentionnellement, avec et pour les autres
Ces deux personnages servent à imager ce que serait une vie vécue à 100% par défaut ou à 100% de façon intentionnelle.
Dans les deux cas, ils n’existent pas vraiment, ce sont des “idéaux” impossibles à atteindre.
Vous ne serez jamais vraiment Stéphane (et tant mieux !)
Et vous n’avez pas à devenir à 100% comme Achille.
Le but de ce personnage n’est pas de se comparer à une figure écrasante et ou démotivante.
Mais au contraire d’avoir une étoile du nord, un modèle, un guide inspirant vos actions au quotidien.
Comme la sagesse que le philosophe désire mais qu’il sait pertinemment qu’il ne pourra jamais atteindre pleinement.
Pour autant, vivre en essayant de s’en approcher lui confère un sens et une direction importante à sa vie.
Ce sont donc des destinations vers lesquelles nous pouvons tendre.
D’autant plus que la trajectoire la plus “naturelle” à notre époque est celle nous faisant glisser vers “Stéphane”.
L’environnement contemporain (médias, technologies, idéologies) nous pousse dans cette direction.
C’est pour cela que nous avons besoin d’un idéal tel Achille (ou celui que vous vous construisez vous-même) pour s’extraire d’une situation semblant être “contre nature” à notre époque.
Ce qui compte n’est pas tant où vous en êtes aujourd’hui.
Mais la direction que vous visez avec : vos intentions, votre idéal et votre mission personnelle.
Qui influeront qui vous serez demain.
Le spectre de l’intentionnalité
C’est ici qu’intervient le spectre de l’intentionnalité.
À chaque extrémité de celui-ci nous retrouvons Stéphane et Achille.
Vous et moi nous sommes quelques parts sur ce spectre.
En train de faire de notre mieux pour mener une vie plus intentionnelle.
Ce spectre de vie intentionnelle peut correspondre à l’ensemble de notre vie.
Ou se décomposer par domaines fondamentaux dont :
la pensée / connaissance
la connaissance de soi
les choix / décisions
La philosophie de vie / mode de vie
le corps / mental (la santé)
le travail / carrière
les finances, l'argent
les relations (amitiés et amour)
la gestion de notre temps / énergie
les valeurs
les désirs
les habitudes / journée idéale
Laissez-moi vous présenter un exemple personnel pour illustrer comment un projet intentionnel peut être lié à plusieurs domaines piliers de nos vies.
Je profite de mon passage en France pour refaire toute ma garde-robe avant de repartir à l’étranger.
Cela fait des années que j’ai envie d’avoir un style vestimentaire qui correspond plus à ma personnalité.
Mais je ne le fais pas pour diverses raisons.
La peur du regard de l’autre, de mauvaises expériences passées avec la “mode”, le coût financier de bien s’habiller.
Je reste donc dans une situation qui me déplaît, notamment l’été où je trouve que mon style vestimentaire ne correspond pas du tout à qui je suis et encore moins à qui j’ai envie de devenir (identités à incarner).
Ce qui peut impacter ma confiance en moi dans certaines interactions sociales.
Mais aussi avoir un impact par ricochet sur d’autres domaines de vie.
Puisqu’un besoin de changement identité non traité peut engendrer un signal de “nihilisme” qui s’étend à d’autres domaines plus ou moins liés.
Ici le fait de ne pas s’habiller selon ma personnalité pourrait impacter :
ma santé mentale avec une “mauvaise” image de moi-même
me pousser à prendre moins soin de mon physique
moins oser faire des rencontres
influer sur mon rapport à l’argent en n’osant pas dépenser suffisamment pour avoir des vêtements de qualités (tout en ayant les moyens de le faire).
Ces dernières semaines, j’ai donc passé plusieurs soirées sur Bonne Gueule (coucou Benoît si tu lis cette édition) pour étudier, chercher et commander les pièces dont j’ai besoin pour me constituer une penderie qui correspond au mieux à qui je suis.
Ce projet “refonte de garde-robe” est une conséquence d’un travail dans le “domaine pilier” de la connaissance de soi (savoir ce qui je suis, ce que je veux), celui de la confiance en soi, des finances (accepter de dépenser plus d’argent dans des vêtements de qualité) et des relations (avoir plus confiance dans les relations sociales).
Ceci est un exemple. Vous pouvez constater qu’un travail intentionnel sur sa vie passe par :
l’usage de principes tels que celui de la suspension et de l’audit de ses actions/pensées → dire stop à une situation “par défaut” qui ne me convient plus.
L’envie de progresser dans un ou plusieurs domaines particuliers de ma vie
Trouver un projet concret permettant de travailler sur ces domaines fondamentaux.
La définition du Philopreneur
Nous avons vu que le spectre de l’intentionnalité représente le chemin de la vie intentionnelle ou celui de la vie par défaut, selon nos pensées et nos actions.
Nous tendons vers l’exemple d’Achille ou celui de Stéphane.
Mais quid du Philopreneur ? Quelle est sa définition ? Qui est-il ?
Lorsque j’ai pensé à ce terme pour la première fois en novembre 2020, je l’avais présenté ainsi :
Les philopreneurs seraient donc des personnes qui cherchent un équilibre entre l'action (facette entrepreneuriale) et la réflexion (facette "intellectuelle").
C’est quelqu’un qui est à l’intersection de l’action et des idées.
Le philopreneur n’est pas un philosophe et n’est pas nécessairement un entrepreneur.
Sa définition a évolué en 2021 allant d’un axe entrepreneuriat / développement personnel à une prédominance plus philosophique sur les 6 derniers mois de l’an dernier.
En parallèle, le concept de vie intentionnelle s’est développé jusqu’à devenir un “modèle mental”, un principe fondamental que j’utilise dans mon quotidien.
De plus, cette idée résonne chez beaucoup de mes amis et auprès des personnes (dont vous amis lecteurs) à qui je présente cette manière de penser et de vivre sa vie.
Cette année, ces deux idées arrivent à maturité dans mon esprit.
Elles se rejoignent pour former une philosophie de vie pratique que je suis en train de vous partager à travers cette newsletter (et mon futur livre).
Le philopreneur est un individu qui ose s’extraire d’une vie vécue par défaut pour mener une vie intentionnelle.
Il va s’éloigner d’une vie vécue selon les autres pour se réaliser pleinement, devenir qui il peut (et doit) devenir sans oublier de vivre avec et pour les autres.
Comme les philosophes aspirant à la sagesse, à l’idéal Socratique inaccessible. Le philosophe aspirant, désirant une sagesse qu’il sait qui ne saura atteindre pleinement.
Le philopreneur aspire à mener une vie la plus intentionnelle possible tout en sachant qu’il est humain, faillible et ne peut pas toujours transformer le réel selon sa volonté.
Son paradoxe est qu’il apprend à aimer et accepter sa situation présente. Mais que dans un second temps il est capable de la refuser, de ne pas la voir comme un statut quo, une situation figée.
C’est cette double mentalité qui lui permet de progresser sur le spectre de la vie intentionnelle.
Car celui qui n’accepte jamais sa situation ne vit jamais vraiment le moment présent.
Alors que celui qui ne sait pas le refuser ne saura comment progresser, s’élever, se rapprocher d’un idéal lui permettant à lui-même, à ses proches et au monde d’avancer dans une direction souhaitable pour tous.
Le philopreneur a la sérénité de l’individu qui parvient à s’accepter et accepter le monde tel qu’il est. Tout en ayant le sens de celui qui refuse la stagnation et cherche à se réaliser pleinement, en s’attelant à des projets collectifs importants pour lui.
Le philopreneur dispose d’une philosophie de vie pratique, celle de la vie intentionnelle.
Cette philosophie pratique lui proposant un modèle, un ensemble de principes, des modèles mentaux et des conseils pratiques pour obtenir certains bénéfices constituants les ingrédients d’une vie valant la peine d’être vécue.
Une vie qui nous permettra de la quitter un jour en se disant telle Epicure “que nous sommes rassasiés, car ayant bien vécu”.
Ce qui nous amène aux bienfaits de la vie intentionnelle.
Les 3 bénéfices principaux de la vie intentionnelle (+9 secondaires)
La vie intentionnelle est-elle une fin en soi ?
Non, elle est un moyen. Elle est une manière de penser et de vivre sa vie.
Faisons un petit détour par la philosophie grecque.
Les écoles de philosophies de l’antiquité grecque avaient toutes la même finalité : l’eudémonisme.
Cet eudémonisme correspondant à une forme de bonheur intérieur qui était le souverain bien. C’est ce que les philosophies de l’époque proposaient à ses adeptes de viser.
Celui-ci était une conséquence d’une vie vécue selon les principes de chaque école.
Chaque école avait des principes, des chemins différents pour atteindre toute même but qu’était l’eudémonisme.
La question qu’on peut donc se poser avec la vie intentionnelle est :
Que vais-je obtenir en vivant de manière intentionnelle mon existence ?
Les bénéfices sont multiples mais commençons par mettre en avant ceux qui me semblent être les 3 principaux.
1- Du sens
Dans une société sécularisée où nous n’avons pas encore réussi à “remplacer” les religions pour donner un sens transcendant à nos existences ( du moins en Occident), il est important en tant qu’individu d’avoir les outils pour “construire son propre sens”.
La vie intentionnelle permet notamment à celui qui vit selon ses principes de mieux se connaître, de définir un idéal de soi et du monde, de déterminer ses valeurs et les hiérarchiser, de vivre avec et pour les autres.
Soit autant de manières de chercher, créer et provoquer du sens à sa vie quotidienne et en donner à ceux que l’on côtoie.
La vie intentionnelle fait (re)naître un sens à la vie de ceux qui osent emprunter son chemin.
2- De la sérénité / du calme
Pour certaines personnes, sens et sérénité pourraient être antinomiques.
Le sens créé de la vie, de l’intensité, de la vitesse, de l’ambition.
La sérénité génère du calme, de la prise de recul, de la contemplation.
Nietzsche nous invitait à vivre de manière intense, totale, dionysiaque.
Les stoïciens et les écoles rivales de l’antiquité grecque nous poussaient à chercher l’eudémonisme et la tranquillité de l’âme.
Pour ma part, je considère - et constate de mon vécu - que les deux peuvent se nourrir mutuellement.
Trouver un sens à sa vie procure de la sérénité. Ne serait-ce qu’en pointant dans une direction pour 6-12 mois.
La sérénité donne la clarté mentale et l’espace nécessaire pour chercher un sens, donner une direction à sa vie.
La vie intentionnelle rend plus serein avec notamment les principes suivants :
la distinction de ce qui dépend de nous et n’en dépend pas
l’amour de la vie et de son destin (Amor fati)
la connaissance de soi ainsi que celle des lois de l’univers et des jeux de notre époque.
3- De la liberté
Celle-ci est sans doute la plus recherchée. Ce désir de liberté qui est présent - plus ou moins fortement - en chacun de nous.
La notion de liberté fait débat dans les joutes philosophiques notamment entre les existentialistes considérant que l’homme est libre, voire qu’il est condamné à l’être selon Sartre.
Et d’un autre côté les déterministes avec en chef de file Spinoza considérant que la liberté de l’homme est une illusion.
Avec la vie intentionnelle, nous pouvons prendre une posture plus nietzschéenne si je peux me permettre.
D’une part, il faut être en mesure de comprendre, de connaître et d’accepter ce qui ne dépend pas de nous, les lois de l’univers.
Mais aussi de prendre en compte nos déterminismes, d’essayer de mieux les saisir.
La liberté s’obtient d’abord par la connaissance (de soi). Par la connaissance de ses limites. De ce qui est possible et ne l’est pas.
La vie intentionnelle a aussi pour ambition de nous permettre de moins vivre selon les autres, de s’extraire de ces peurs qui nous font faire des choix “défensifs”.
Et d’aller vers une vie composée d’une réalisation de soi conjugué à un appel à vivre avec et pour les autres.
La vie intentionnelle n’offre pas la liberté totale, qui est certainement une illusion.
Mais elle offre un moyen de s’affranchir de certaines conventions, valeurs à laquelle l’individu - qui ose s’extraire du troupeau - n’adhérera pas forcément.
Enfin, elle suggère à l’homme intentionnel, aux philopreneurs, de “cadrer” cette liberté retrouvée.
Car s’extraire d’une vie médiocre ouvre à l’Homme un champ de possibles qu’il n’a jamais connu.
Champ des possibles qu’il faut être en mesure de délimiter (au moins quelque temps) pour ne pas devenir fou et obtenir les bénéfices inhérents à l’engagement.
Les trois bénéfices principaux de la vie intentionnelle me semblent donc être :
le sens
la sérénité
la liberté.
Mais elle offre aussi toute une liste de 9 bénéfices secondaires dont voici une liste (non exhaustive) :
Authenticité
Leadership
Connaissance de soi
Empire de soi et de ses désirs
Estime, respect et confiance en soi
Santé mentale et physique en bien meilleur état
Relations interpersonnelles de meilleures qualités
Richesse relationnelle, spirituelle, financière, intellectuelle
De ne plus vivre selon les autres mais avec et pour les autres.
Ce que n’est pas la vie intentionnelle ?
Nous venons de voir, en partant de différents angles d’attaque, ce qu’est la vie intentionnelle.
Mais il me semble tout aussi important d’évoquer ce qu’elle n’est pas.
Ceci permettant de nuancer les principes de la vie intentionnelle, de délimiter le sujet et de prévenir des quiproquos potentiels.
1- La vie intentionnelle n’est pas une philosophie promettant une richesse matérielle.
Contrairement à un pan du développement personnel promettant richesse matérielle à ceux suivant certaines idées ou principe.
La vie intentionnelle se rapproche plus de la philosophie au sens où elle va tenter d’aider le philopreneur à développer une richesse intérieure.
Pour preuve, les bénéfices principaux évoqués dans la partie ci-dessus que sont le sens, la liberté et la sérénité.
Ce sont des états intérieurs qui ne doivent pas (uniquement) dépendre de nos conditions extérieures.
2- La vie intentionnelle n’est pas un culte à l’individu(alisme)
Il y a deux manières principales d’aider les individus et le monde :
S’atteler à l’amélioration “des structures” de notre société
Se concentrer sur l’amélioration de l’individu
La vie intentionnelle rentre clairement dans la deuxième catégorie. Mais cela n’en fait pas une philosophie (de vie) individualiste.
Au contraire, l’objectif est d’aider des personnes à se réaliser pleinement à travers un processus/chemin.
À l’instar de ce que Carl Jung appelait un processus d’individuation, le philopreneur suit un chemin qui va l’aider à devenir pleinement un individu autonome et indépendant.
C’est cette autonomie, cette construction de soi qui lui donnera la force nécessaire pour contribuer à rendre le monde meilleur que ce soit pour et avec ses proches, sa communauté ou à travers de grands projets entrepreneuriaux, sociaux ou politiques.
3- La vie intentionnelle n’est pas une philosophie du jugement
Le constat de la vie par défaut ainsi que l’archétype de “Stéphane” ne sont que des analyses factuelles de l’évolution de notre société et des individus la composant.
L’histoire (de la philosophie) nous montre à de nombreuses reprises que la majorité des hommes et des femmes vivent de manière “non examinée” ou par défaut.
Cela ne changera pas à notre époque ni dans les suivantes.
Cependant, à chaque période, il est nécessaire de proposer aux individus qui le souhaitent, des discours, des outils et des principes de vie pour mieux vivre à l’époque qui les concernent.
4- La vie intentionnelle n’est pas une philosophie dogmatique
Une philosophie ou une doctrine dogmatique est une pensée figée qui doit s’appliquer tel quelle aujourd’hui, demain et à jamais.
Avec le philopreneur et la vie intentionnelle, j’essaye de proposer des grands principes en m’appuyant sur la philosophie, la psychologie et l’entrepreneuriat (ou plutôt un esprit entrepreneurial).
Ces principes resteront individuellement valides dans plusieurs dizaines d’années mais l’évolution de la société et de la situation des individus en faisant partie nécessitera peut-être des ajustements (ou ajouts) de principes dans les années à venir.
De plus, j’invite chaque personne se sentant Philopreneur, à s’approprier le terme.
À s’appuyer sur les principes de la vie intentionnelle pour construire une philosophie “personnelle” s’appuyant sur mes propositions actuelles et à venir.
“Conclusion”
Dans cet essai nous avons donc vu :
comment nous situer entre les archétypes de Stéphane et d’Achille.
L’importance de se situer sur le spectre de l’intentionnalité est de se concentrer sur le chemin au quotidien à travers nos pensées, nos choix, nos actions.
La définition du philopreneur qui est un individu osant s’extraire d’une vie vécue par défaut pour mener une vie intentionnelle.
Les 3 bénéfices principaux de la vie intentionnelle qui sont le sens, la sérénité et la liberté.
Et enfin une remise en contexte à travers 4 idées sur ce que n’est pas la vie ou philosophie intentionnelle.
La semaine prochaine, nous poursuivrons ces réflexions avec notamment :
Un essai sur l’héritage philosophique duquel se réclame et s’inscrit la vie/philosophie intentionnelle ?
Avec notamment un retour aux sources de la philosophie antique (dont le stoïcisme fait partie) qui influença tout une branche de la philosophie dite existentielle.
Suivi du manifeste du Philopreneur
Je m’arrête ici pour cette semaine.
Merci d’avoir pris le temps de me lire.
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Passez une bonne semaine et à lundi prochain !
JCK from Nancy 🇫🇷
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Qui ne saurait vouloir être philoentrepreneur après un tel argumentaire ? Merci pour ce partage, ces réflexions, cette boussole des possibles