Bonjour à tous c’est JCK,
Je me suis absenté lundi dernier, pour me concentrer sur la dernière ligne droite avant la remise du manuscrit (début mai) de mon livre à mon éditeur.
J'ai failli encore vous faire faux bond cette semaine, pour me consacrer pleinement au livre, mais j’ai eu envie de vous écrire pendant le week-end.
La raison ? Mercredi dernier, j’ai célébré mes 32 ans.
Pour l’occasion, j’ai souhaité prendre un peu de temps pour réfléchir puis vous partager 10 réflexions et leçons que la vie m’a enseignées ces 12 derniers mois.
C’est parti mes amis Philopreneur !
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10 réflexions et leçons pour mes 32 ans
1) Votre vie peut changer en moins de 6 mois
J’ai acquis la conviction qu’il est possible de changer drastiquement sa vie (ou celle de quelqu’un) en 6 mois.
L’an dernier, en marge de l’écriture de mon livre, je me suis lancé “un projet de vie intentionnelle” durant lequel je me suis attaqué aux domaines / problèmes qui m’empêchaient d’avoir la stabilité émotionnelle et les résultats que je voulais dans ce qui est important pour moi.
En quelques mois, j’ai construit les fondations sur des domaines tels que les relations hommes/femmes, les rencontres, la santé, le style vestimentaire, l’écriture d’un livre, la gestion de l’énergie.
Tout est question d’introspection, d’intention et d’exécution.
2) Faire de son business un outil au service de son développement personnel (et de sa philosophie de vie)
J’ai l’intuition depuis des années que la création (de contenu) et le business peuvent prendre la forme d’un “journal public”.
Journal dans lequel nous montrons à une audience comment on se développe, les problèmes que l’on résout dans sa vie et les objectifs qu’on atteint.
Puis, à cette même audience, nous pouvons lui proposer des solutions (services et produits) pour l’aider à suivre un chemin similaire au nôtre. Le business devient alors un véhicule de notre développement personnel et un moyen de monétiser et d’exprimer au monde notre vision et philosophie de vie.
C’est cet aspect qui me fascine le plus dans la creator economy.
3) Atteindre son “prime” à 50 ans
Le prime c’est “son meilleur moment/niveau”. Pour un sportif de haut niveau, c’est autour de 28 ans.
J’ai dépassé les 28 ans depuis un moment, et je ne suis pas sportif de haut niveau. Je préfère donc penser et vivre ma vie de sorte que mon “prime” intervienne le plus tard possible.
Ce n’est pas biologiquement possible dans tous les domaines mais mon but est de vivre ma vie de sorte que j’atteigne mon prime à 50 ans. Ce sera mon sommet en termes de capacité physique, mentale, spirituelle, relationnelle, psychologique et financière.
La vie est longue et les effets composés peuvent jouer en notre faveur (à condition de ne pas faire n’importe quoi dans sa jeunesse et d’investir sur soi).
4) Combattre les “soft addictions”.
Je dois au Youtubeur Hamza cette prise de conscience plus aigu des dangers des soft addiction.
Ce que j’appelle ainsi, ce sont les addictions qui ne sont pas considérées comme dangereusement socialement comme le sucre, les drogues douces, les jeux vidéo, la pornographie, les réseaux sociaux et plus largement le temps passé sur nos écrans.
Comment atteindre son prime à 50 ans si nous passons notre vie à nous perdre dans ces addictions “modernes” ?
J’ai commencé à sérieusement réduire ma consommation de ces aspirateurs à volonté et concentration.
5) Ne pas s’enfermer dans un personnage
Autant, j’ai appris que la nuance n’a pas sa place sur un post Linkedin, autant il faut ne pas s’y perdre les semaines passant.
Jouer le jeu des réseaux sociaux (notamment en tant que créateur régulier) peut rapidement nous faire dériver vers un personnage qui devient une caricature de nous-même.
J’essaye régulièrement de faire la part des choses entre le besoin/envie de croître une audience, faire des “likes” et celles de traiter les sujets qui me passionnent à ma manière et de mener chaque jour une vie qui est plus proche de qui je suis et de qui j’aspire à devenir en tant que créateur, entrepreneur et homme.
6) Un pied dans la société et un pied en dehors
Notre besoin de lien social nous condamne à garder toujours un pied dans la société, que nous soyons en bons termes avec elle ou non.
Les années passées m’ont enseigné que la meilleure posture à avoir avec la société est de commencer par la comprendre, d’utiliser ce qu’elle a de meilleur à nous offrir, et de lui rendre le pareil notamment pour aider nos proches et notre communauté.
Mais en restant vigilant afin de ne pas lui vendre notre âme. Il est important de garder une distance nécessaire (physique et intellectuelle) afin de ne pas se perdre et parvenir à mener une vie plus consciente et authentique que la majorité se perdant dans “la vie par défaut” de cette même époque.
7) Penser sa vie comme un philosophe, faire des expériences comme un scientifique et voyager tel l’explorateur
La vie n’a pas de sens mais elle est riche en possibilités.
Chacun de nous est forcé de tracer un chemin allant de la naissance à la mort. Ce chemin est unique et vous êtes en partie maître de ce que vous en faites.
Il y a des identités qui peuvent nous permettre de construire un chemin heureux et utile au bien commun.
Le philosophe qui pense la/sa vie. Le scientifique qui prend les hypothèses du philosophe est en fait des expériences empiriques. L’explorateur qui pousse les intellectuels scientifiques et philosophes à sortir de leurs livres et expérimenter le mondes en 3 dimensions.
8) Vivre avec radicalité et intensité
Avoir le cul entre deux chaises ce n’est pas agréable. Pourtant, c’est ainsi que nous vivons.
Indécis. À moitié dans ce que nous faisons. Pas vraiment en train de travailler ni vraiment en train de nous reposer. Avec sa copine mais aussi sur son téléphone. En train de regarder un film en pensant à autre chose.
Nous vivons dans un interstice qui est une pâle copie de ce que la vie est quand elle vécut avec intensité.
L’intensité c’est la présence que l’on met comme si nous voulions créer un faisceau lumineux et notre esprit et l’activité en cours.
L’intensité naît de la radicalité car pour toucher le sommet d’un domaine, d’une relation, d’une discipline, il faut commencer par s’enraciner.
Soyons intenses dans notre façon d’être, de vivre, de faire (et de ne pas faire).
9) Le besoin d’un foyer, d’amitié et d’amour pour mener une vie profonde
Tout projet est pour moi un moyen de me développer personnellement mais aussi un moyen d’attirer, créer et renforcer mes liens avec des individus.
Le nomadisme c’est l’exploration de la surface. La sédentarisation c’est l’exploration de la profondeur. Or, je veux une vie large, dense et profonde qui nécessite les deux.
Pour cela j’ai besoin d’un point d’ancrage quelque part dans le monde. Un lieu où je suis entouré des personnes que j’aime le plus, qui me stimule intellectuellement et avec qui j’ai envie de passer du temps quand je reviens au bercail.
Ce sera le fil rouge de me trentaine : constituer ce “foyer”.
10) Ne pas chercher à résoudre tous ses problèmes pour être en paix
Il y aura toujours des problèmes, des vrais, des importants, des marginaux, des imaginaires.
Penser que résoudre tous ses problèmes est le chemin vers la paix ou le bonheur est une erreur. La paix se manifeste quand on est en paix avec l’idée de toujours avoir des problèmes.
Les problèmes sont des guides, des GPS, nous devons choisir lesquels valent la peine et les poursuivre sans atteindre de leur résolution un quelconque miracle.
La paix est intérieure. Elle est déjà la, mais nous sommes trop occupés à sonder notre prochain problème et à courir après des quêtes insatisfaisantes du monde externe.
Je m’arrête ici pour aujourd’hui.
Dites-moi en réponse à ce mail (ou sur Instagram) laquelle de ces 10 réflexions vous touche le plus ?
De mon côté, je retourne travailler sur mon livre.
Pensez aussi à mettre un petit ❤️ pour me signaler que l’édition vous a plu !
Passez une excellente semaine et à lundi prochain !
JCK from Budapest 🇭🇺